Héloïse Roueau confronte son corps aux éléments naturels au travers de la vidéo-performance et du volume.
Elle occupe un interstice où elle place l’humanité face à ses limites, là où pulsion de vie et pulsion de mort s’indifférencient.
Elle vogue dans un univers touchant aux mythes et aux rituels, dans une volonté de les réactiver, d’inventer les siens,
comme autant de manifestations d’archaïsmes qui persévèrent à travers les âges.
Son travail se situe entre l’éco-féminisme, l’archaïsme, la néo-mythologie et les questions écologiques.